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Tesla améliore la sécurité des airbags grâce à une mise à jour logicielle audacieuse et innovante

Tesla a récemment obtenu le label EMAS pour sa Gigafactory Berlin-Brandenburg, soulignant ses initiatives écologiques significatives. Avec plus de 2 millions d’arbres replantés et une réduction de l’usage de l’eau, Tesla s’engage envers une production durable, tout en visant à diminuer son empreinte carbone.

Tesla a reçu le label écologique européen (EMAS) pour sa Gigafactory de Berlin-Brandenburg.

Le label EMAS met en avant les mesures environnementales déjà en place dans l’installation, telles que des efforts de reforestation étendus et une réduction de la consommation d’eau. Il souligne également l’engagement de Tesla à améliorer ses initiatives environnementales.

Les initiatives environnementales de Giga Berlin

Le label EMAS (Eco-Management and Audit Scheme) est un système de gestion environnementale à long terme qui se concentre sur la conformité aux réglementations et l’amélioration des performances environnementales, comme indiqué dans un rapport du Tagesspiegel.

André Thierig, directeur de l’usine, a confirmé que Tesla a déjà planté plus de 2 millions d’arbres pour compenser ceux abattus pour la construction de Giga Berlin. L’entreprise vise également une capacité solaire supplémentaire de 5 à 15 MW en pointe cette année pour rendre l’usine plus durable. « Nous continuerons à promouvoir l’énergie photovoltaïque à l’avenir », a-t-il déclaré.

Consommation et utilisation énergétique de Giga Berlin

En 2024, Giga Berlin a consommé environ 419 503 MWh d’énergie, l’électricité représentant plus de la moitié, suivie du gaz naturel. L’usine cherche à réduire son utilisation de gaz naturel en réorientant l’eau de chauffage de process grâce à la récupération de chaleur résiduelle. La consommation d’eau a été de 2,16 mètres cubes par véhicule, nettement inférieure à la moyenne de l’industrie de 3,5 mètres cubes.

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Cette année, Tesla Giga Berlin vise à recycler 90 % des eaux usées de process de l’usine du modèle Y. Environ 11 000 employés travaillent actuellement à Giga Berlin, qui produit 5 000 véhicules par semaine, soit environ 250 000 unités par an.

Certification accueillie mais pas sans critiques

Le programme EMAS exige des entreprises qu’elles divulguent leur utilisation des ressources, leurs émissions et leurs plans d’amélioration. Plus de 40 entreprises en Brandebourg ont obtenu la certification EMAS.

La ministre de l’Environnement du Brandebourg, Hanka Mittelstädt (SPD), a décrit Tesla comme un modèle à suivre pour la région. « Tout est public, ce qui crée également un certain niveau de confiance », a-t-elle déclaré, notant que Tesla est un « phare » dans l’industrie.

Monique Zweig, directrice générale de la Chambre de commerce et d’industrie de l’Est du Brandebourg (IHK), a partagé son optimisme dans un commentaire à rbb24. « Chez Tesla, on voit que les objectifs climatiques vont de pair avec l’industrie », a affirmé Zweig.

Sans surprise, les activistes locaux ont élevé des doutes. L’Association pour la nature et le paysage en Brandebourg, qui s’oppose à Tesla, a remis en question la possibilité que la certification soit utilisée comme du « greenwashing ».

Le groupe a également allégué que le certificat pourrait ouvrir la voie à une surveillance plus faible pour le constructeur de véhicules électriques. « Le label est du ‘greenwashing’ pour dépeindre l’entreprise comme plus écologique », a noté le porte-parole Steffen Schorcht.

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Mon avis :

Tesla a récemment obtenu le label EMAS pour sa Gigafactory à Berlin-Brandenburg, soulignant ses efforts en matière de reforestation et de réduction de la consommation d’eau. Bien que ce succès soit salué comme un modèle de durabilité par certains, des critiques évoquent des risques de « greenwashing » et un manque de surveillance, illustrant ainsi la complexité des initiatives environnementales industrielles.