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Croisières

Voici un titre SEO légèrement accrocheur : « Les photos de cruceros invendues : de belles occasions à saisir à prix mini »

Dans cet article captivant, nous plongeons dans l’univers fascinant de la photographie de croisières avec Ian Hughes et son projet Love Boats Rejects. À travers des images uniques, Hughes révèle le côté ludique et brut des croisières d’antan, capturant des souvenirs authentiques oubliés par le temps.

photographies de croisières anciennes

Love Boats Rejects : Un Regard sur un Hédonisme Flottant

Ces photographies ne ressemblent en rien à celles que l’on trouve dans les catalogues de croisières. Elles dévoilent un côté amusant et désinvolte des croisières, comme le décrit le photographe Ian Hughes. Il parle d’un « hommage à l’hédonisme baroque » des croisières d’autrefois, où la vie sociale à bord était marquée par des poses spontanées, des rires et des audaces qui échappaient souvent à la norme d’une présentation corporative.

Hughes ne se contente pas de capturer des situations cocasses; il réveille également des codes visuels d’une époque révolue : fonds en velours, éclairages directs, cadrages frontaux et une théâtralité délicieusement imparfaite. C’est l’esthétique des fêtes sans complexes, des toasts éternels et des portraits impertinents avant l’ère des selfies à chaque coin du bateau.

Comment ces Photos étaient Réalisées et Commercialisées à Bord

photos de croisières rétrophotos de croisières rétro

À l’époque, un grand navire pouvait compter jusqu’à neuf photographes, travaillant jusqu’à 15 heures par jour, 7 jours sur 7, à la recherche d’instantanés mémorables à vendre aux touristes. Du moment de l’embarquement, avec ces fameuses photos de passerelle, aux portraits dans le dining-room ou lors de la nuit de gala, l’équipe s’efforçait de proposer des poses, de monter des fonds et de soigner les éclairages pour composer des séries exhaustives.

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Après chaque séance, le matériel était développé et retouché dans les laboratoires analogiques à bord. Les photographies étaient alors exposées sur un panneau d’affichage, accessible à tous, dans une galerie que les passagers traversaient en se rendant au théâtre ou au restaurant. Beaucoup de ces images restaient sur ce panneau, accrochées à une épingle, oubliées même par leurs protagonistes : peut-être qu’elles ne mettaient pas en valeur l’image, qu’elles présentaient une pose trop commune ou que la magie du moment avait disparu le lendemain.

C’est ce surplus que Hughes a récupéré avec un œil curatorial. Dans Love Boats Rejects, il sélectionne avec humour et tendresse les échecs les plus évocateurs : regards flous, verres à moitié levés, costumes improbables, baisers interrompus par l’angle de prise de vue ou mains entrant dans le cadre au mauvais moment. L’ensemble compose un portrait collectif de la vie à bord.

Ce que Ces Images Racontent Aujourd’hui

photographie de croisières vintagephotographie de croisières vintage

De nos jours, ces photographies se révèlent comme un document culturel : elles capturent des habitudes, des codes vestimentaires, des coiffures, des bijoux, des modes et des gestes d’une époque antérieure aux smartphones, où la mémoire visuelle des voyages était déléguée à des professionnels. L’appareil photo du photographe servait de passeport aux souvenirs, et le panneau d’affichage, de réseau social analogique où choisir quoi afficher dans la cabine ou rapporter à la maison.

Ces images se détachent de l’esthétique impeccable et corporative pour montrer la côté B du glamour : la blague privée, le pas de danse manqué, la serviette emportée par l’air conditionné. Néanmoins, c’est dans cette imperfection que réside leur pouvoir : elles nous renvoient à la vérité émotionnelle du voyage, celle rarement reproduite dans des brochures.

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La paternité de Love Boats Rejects repose sur un travail communautaire, où Hughes a sélectionné des photos sans se soucier de leur auteur, représentatives d’une époque presque nostalgique des croisières. Cette renonciation à l’attribution individuelle renforce l’idée que cet archive représente avant tout une mémoire partagée entre passagers et équipage.

Si vous souhaitez explorer cet univers, vous pouvez visiter Love Boats Rejects sur la page officielle de Ian Hughes. Au-delà du rire, vous découvrirez un témoignage de ce que signifiait profiter de la mer à une époque où le portrait était confié à un professionnel qui, avec un flash et beaucoup de patience, transformait l’ordinaire en une scène digne d’un album.

Mon avis :

Ian Hughes, à travers son projet « Love Boats Rejects », offre un regard authentique sur la culture des croisières des années 90, révélant une esthétique désinvolte et ludique. Toutefois, même si ces images pleines d’imperfections rappellent la joie et la camaraderie des passagers, elles soulignent aussi la superficialité parfois inhérente à ces vacances ostentatoires.

Les questions fréquentes :

Qu’est-ce que « Love Boats Rejects » ?

« Love Boats Rejects » est un projet d’Ian Hughes, photographe documentaire qui a passé plus de huit ans à photographier des croisières. Ce projet présente des photos peu communes, mettant en avant le côté ludique et parfois maladroit des croisières, loin des images idéalisées que l’on trouve dans les catalogues.

Comment ces photos étaient-elles prises à bord des croisières ?

À bord des grands navires, jusqu’à neuf photographes étaient présents, travaillant jusqu’à 15 heures par jour. Ils prenaient des photos lors de moments clés, comme les photos de pasarela et les dîners de gala, créant des souvenirs pour les passagers en proposant des poses et en soignant l’éclairage.

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Quel est l’intérêt de ces photos aujourd’hui ?

Aujourd’hui, ces images servent de documents culturels, capturant des habitudes, des modes vestimentaires et des attitudes d’une époque où les smartphones n’existaient pas. Elles montrent une facette authentique du voyage, souvent négligée dans les brochures de croisière, révélant des moments de vérité émotionnelle.

Pourquoi Hughes a-t-il choisi de renoncer à la signature individuelle de ses photos ?

Ian Hughes a pris cette décision pour souligner que « Love Boats Rejects » représente une mémoire collective, partagée entre les passagers et l’équipage. Cette approche communautaire reflète une nostalgie pour une époque où les photographes capturèrent les moments quotidiens d’une manière plus authentique, sans le souci de perfection corporative.