Le service Tesla Robotaxi suscite de vives critiques, notamment de la part de John Krafcik, ancien PDG de Waymo et actuel membre du conseil d’administration de Rivian. Malgré son lancement prometteur à Austin et dans la Baie de San Francisco, le scepticisme persiste quant à son efficacité et sa sécurité.
Des critiques sur le Tesla Robotaxi par l’ancien PDG de Waymo
Le Tesla Robotaxi fait face à un scepticisme croissant de la part des observateurs du secteur. Récemment, il a été critiqué par John Krafcik, l’ancien PDG de Waymo, qui siège maintenant au conseil d’administration de Rivian, un concurrent de Tesla.
Présentation du Robotaxi de Tesla
Le Robotaxi est le service de transport autonome de Tesla, fonctionnant à la fois à Austin, au Texas, et dans la région de la baie de
Dans la baie, Tesla n’est pas légalement autorisé à désigner la plateforme sous le nom de « Robotaxi », d’où l’utilisation du terme « service de transport ». Cette information a été confirmée par le PDG Elon Musk.
Tesla a lancé le Model Y L en Chine, une version à empattement allongé et six places, à partir de 339 000 CNY, soit environ 47 184 USD. (reuters.com) Ce modèle vise à offrir plus d'espace aux consommateurs chinois. Il est équipé de deux moteurs électriques, offrant une puissance combinée de 340 kW (456 ch), et est alimenté par des batteries NMC fournies par LG Energy Solution. (en.wikipedia.org)
En France, les prix du Tesla Model Y débutent à 44 990 € pour la version Propulsion, offrant une autonomie WLTP de 500 km et une accélération de 0 à 100 km/h en 5,9 secondes. (blogtesla.fr)
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Position critique de John Krafcik
Krafcik, qui a passé environ sept ans chez Waymo, exprime des doutes quant à la flotte de Robotaxi, la qualifiant d’« impressionnante » tout en la comparant à Uber à San Francisco. Dans une interview, il a partagé ses réflexions sur les efforts de Tesla :
« S’ils visaient à recréer l’expérience actuelle d’Uber dans la baie, on dirait qu’ils ont parfaitement réussi. »
Il a également affirmé que la décision de maintenir des Moniteurs de Sécurité dans les véhicules pour le moment empêche ces derniers de devenir de véritables Robotaxis. À Austin, il n’y a pas de Moniteur de Sécurité sur le siège conducteur, seulement sur le siège passager avant.
Dans la région de la baie, un Moniteur de Sécurité est requis sur le siège conducteur, pour satisfaire aux exigences réglementaires actuelles.
Les exigences matérielles et leur impact sur le Robotaxi
Krafcik a poursuivi :
« Faites-moi savoir quand Tesla lancera un Robotaxi — j’attends toujours. Ce n’est (évidemment) pas un Robotaxi s’il y a un employé à l’intérieur de la voiture. »
La présence d’un Moniteur de Sécurité est actuellement une mesure de précaution, et Tesla a déclaré que c’est simplement un moyen d’assurer la sécurité des passagers.
Musk a récemment révélé que Tesla est « paranoïaque » en matière de sécurité, ce qui est compréhensible. Tout accident pourrait retarder considérablement Tesla, ou tout programme de conduite autonome, pendant des années.
Le scepticisme de Krafcik envers le Robotaxi
Malheureusement, Krafcik a indiqué qu’il n’a aucun désir d’essayer le Robotaxi, ce qui signifie qu’il ne lui donnera pas non plus une occasion équitable de le convaincre.
Mon avis :
Le Tesla Robotaxi, récemment lancé à Austin et dans la Bay Area, suscite des critiques, notamment de John Krafcik, ex-CEO de Waymo, qui compare ce service à Uber. Malgré des avancées en autonomie, la nécessité d’un Safety Monitor soulève des interrogations sur sa véritable nature. Les initiatives de Tesla visent la sécurité, mais le scepticisme persiste quant à sa réalisation complète.
