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Tesla sauve encore une fois les constructeurs automobiles canadiens, confrontés à des difficultés pour atteindre les objectifs de vente de véhicules sans émission. Avec une exigence de 20 % de ventes de moteurs électriques d’ici 2026, et 100 % d’ici 2030, les sanctions se chiffrent à 18 500 € par véhicule.

Tesla : Sauvetage des constructeurs automobiles canadiens par le biais de crédits de vente

Contexte du marché automobile au Canada

La situation actuelle des automobiles au Canada révèle une forte pression sur les fabricants pour atteindre les objectifs de vente de véhicules sans émissions. De nombreux constructeurs ont du mal à répondre aux exigences imposées, ce qui a conduit à des partenariats et des transactions stratégiques, notamment avec Tesla.

Obligations légales en matière de véhicules électriques

De nombreux pays et régions à travers le monde ont instauré des mandats visant à encourager les entreprises automobiles à vendre un certain pourcentage de véhicules électriques chaque année. Ces mesures ont pour but de réduire l’impact environnemental des voitures à essence. Pour le marché canadien, 20 % des ventes de voitures neuves de l’année modèle 2026 doivent être dotées d’une chaîne de traction sans émissions. Ce chiffre est prévu d’atteindre 100 % d’ici 2030, sous peine de lourdes amendes pouvant aller jusqu’à 20 000 € par véhicule.

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Éviter les amendes grâce aux crédits

Les entreprises peuvent éviter ces amendes en achetant des crédits auprès de sociétés qui ont un surplus de ventes sans émissions. Tesla est la seule entreprise à disposer de ces crédits excédentaires. Ceci positionne Tesla comme un soutien essentiel pour d’autres constructeurs automobiles qui peinent à atteindre leurs objectifs d’émissions.

Profits de Tesla sur le marché canadien

Cette année, Tesla a généré plus d’un milliard d’euros en crédits réglementaires, provenant de la vente de ces crédits aux entreprises en difficulté. On estime que Tesla pourrait réaliser environ trois milliards d’euros en ventes de crédits pour se conformer aux réglementations mondiales.

Progrès lent des fabricants canadiens

Les constructeurs automobiles au Canada ne manquent pas d’efforts, mais la lenteur de leur adaptation au marché des véhicules électriques constitue un obstacle majeur. Les entreprises n’arrivent pas à exécuter efficacement leurs projets, ce qui joue en faveur de Tesla.

Critiques des mandats législatifs

Brian Kingston, PDG de l’Association canadienne des fabricants de véhicules, critique ces mandats, déclarant que ces règles ne sont pas nécessairement constructives. Il souligne que plus de 40 milliards d’euros ont été investis au Canada depuis 2020, et que la réglementation fédérale semble pénaliser les entreprises qui opèrent ici, tout en favorisant Tesla, qui a une empreinte canadienne minimale.

Avantage technologique de Tesla

Il est difficile de blâmer Tesla pour les difficultés rencontrées par d’autres entreprises dans le lancement de chaînes de traction électriques compétitives et efficaces. Tesla continue de se positionner comme la société la plus avancée technologiquement dans le domaine des véhicules électriques. Grâce à ses produits de qualité supérieure et à son infrastructure de recharge étendue à l’échelle mondiale, Tesla demeure un leader de l’industrie.

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Expérience utilisateur avec les véhicules Tesla

Bien que d’autres entreprises proposent également de bons produits, une expérience utilisateur accrue fait souvent la différence. D’après l’expérience d’utilisateurs, les véhicules Tesla se révèlent être plus conviviaux, intuitifs et pratiques, ce qui en fait un choix privilégié pour de nombreux consommateurs.

Source : Yahoo

Mon avis :

Tesla, par sa domination dans le marché des véhicules électriques (VE), profite de la lente transition des fabricants canadiens vers les normes d’émissions. Bien que cela génère des revenus substantiels, 1 milliard de dollars canadiens (environ 675 millions d’euros) en crédits à peine cette année, cela souligne un manque d’innovation chez les concurrents, comme l’indique Brian Kingston.