Elon Musk, PDG de Tesla, a récemment annoncé une mise à jour majeure : la version v14.2.1 de l’Autopilot, qui pourrait permettre de texter en conduisant, selon le « contexte du trafic environnant ». Ces déclarations soulèvent des préoccupations sur la sécurité et la légalité de cette fonctionnalité.

Mise à jour majeure de Tesla : le texte en conduisant

Le PDG de Tesla, Elon Musk, a récemment annoncé que la version 14.2.1 de la technologie Full Self-Driving (FSD) permettra d’envoyer des messages textes tout en conduisant, « en fonction du contexte du trafic environnant. » Cette annonce soulève des questions importantes sur la sécurité routière et les implications légales pour les utilisateurs.

Le processus d’expérimentation

Pour évaluer cette nouvelle fonctionnalité, un test a été réalisé afin de déterminer dans quelles circonstances il était possible d’utiliser son téléphone sans encombre. L’objectif principal était d’établir trois niveaux de congestion : faible, moyenne et élevée. Tout en utilisant le téléphone, l’utilisateur a tenté de garder une attention partielle sur la route, vérifiant la circulation environnante.

Résultats du test

Zone à faible congestion

Dans cette zone, l’utilisateur a sélectionné une route locale avec peu de circulation. Il a utilisé son téléphone pendant cinq secondes maximum avant de jeter un coup d’œil à la route. Aucuns avertissements n’ont été émis par le système de surveillance du conducteur, ce qui a été noté comme inquiétant, étant donné l’absence d’autres véhicules.

Zone à congestion moyenne

Dans une zone avec un trafic plus important, incluant un feu rouge, l’utilisateur a continué à suivre la même méthode, passant une limite de cinq secondes avant de vérifier la route. Malgré la présence d’autres véhicules, le système n’a toujours pas émis d’alerte pour qu’il regarde en avant.

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Zone à forte congestion

Le test a été effectué sur une autoroute, un environnement où l’utilisateur s’est senti plus à l’aise d’utiliser son téléphone, étant donné la vitesse relativement constante et la faible probabilité d’arrêts brusques. Dans cette situation, le système a finalement émis un avertissement, signalant qu’il était temps de revenir à la surveillance de la route.

Réflexions personnelles

Bien que l’activation de cette fonction soit officiellement publiée, il existe une réticence à s’y fier complètement. Deux raisons principales expliquent cette hésitation. Premièrement, en cas d’accident, le conducteur serait tenu responsable, même si la technologie est en cause. Deuxièmement, il est important de garder à l’esprit que de nombreuses lois interdisent l’utilisation du téléphone au volant, y compris la loi Paul Miller en Pennsylvanie, qui limite même la manipulation du téléphone à un feu rouge.

Une plus grande tranquillité d’esprit viendrait si la responsabilité pouvait être déléguée en cas d’accident causé par l’utilisation de ces technologies. Même si l’on fait confiance à la technologie FSD, il est préférable de rester prudent, surtout quand les directives de Tesla stipulent que les conducteurs doivent toujours rester attentifs lorsqu’ils utilisent le mode FSD ou Autopilot.

Pour en savoir plus sur cette nouvelle fonctionnalité et son fonctionnement, consultez le site de Tesla ici.

Mon avis :

Tesla’s Full Self-Driving (FSD) v14.2.1 raises significant safety and legal concerns by potentially allowing texting while driving, contingent on traffic context. While it may enhance convenience, the risks of distraction and legal liability—especially in regions with strict phone-use laws—far outweigh the benefits, underscoring the need for caution and responsible usage.

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